Adopter la parentalité bienveillante

Être des parents bienveillants revient à adopter des règles de bonté au quotidien. En voyant votre méthode d’éducation, votre enfant comprend automatiquement la bienveillance. La première règle consiste à bannir les méthodes coercitives. Contrairement aux idées reçues, les punitions corporelles et les réprimandes ne sont pas une bonne chose pour l’éducation. Elles n’aident pas à grandir mais favorisent la violence qui est loin de la bienveillance.
L’adoption d’une attitude bienveillante pour obtenir quelque chose de votre enfant est la meilleure manière pour le lui inculquer. En effet, même s’il est encore immature, il reste un humain qui n’aime pas être commandé. Il peut alors être en désaccord avec ce que vous dites. Par ailleurs, forcer un enfant à obéir aveuglément ne l’apprend pas à être autonome ni être responsable de ses actes. C’est plutôt un apprentissage de soumission qui est source de peur. En effet, un enfant craintif est loin d’être bienveillant.

Combler les réservoirs affectifs

Un enfant qui se sent aimé dès son plus jeune âge n’aura aucun mal à se montrer bienveillant envers lui-même et envers les autres. C’est pourquoi donner des bisous, des câlins, des mots d’amour est important pour vos enfants. Cela lui donne l’impression qu’il est important. Un enfant avec un réservoir affectif plein adopte un regard positif, quelle que soit la situation.
Il a plus d’assurance en soi et peut surmonter n’importe quelle difficulté. Même face à un obstacle, un enfant choyé et aimé puise de l’encouragement dans ses sentiments. Il n’attend pas la validation des autres pour se féliciter et être fier. Automatiquement, quand il voit les autres réussir, il n’aura aucun mal à les complimenter et à être bienveillant envers eux. Et même face à un échec, il ressent de l’empathie et aide les autres à le surmonter. Avoir un cahier de réussite aide les enfants dans leurs développements. Ils peuvent exprimer dans ce cahier l’optimisme, l’enthousiasme, la confiance, la gratitude, la joie et la fierté. Ce sont des sentiments qui amènent à l’empathie et à la bienveillance.

Les premiers jouets d’éveil de bébé

Les magasins de jouets pour enfant proposent un large panel de jouets d’éveil. Ceux sur https://www.culture-13.fr/meilleurs-jeux-deveil/ ne sont qu’un petit aperçu de ce que le marché propose. En tout cas, pendant les premiers mois de bébé, les jouets lumineux et musicaux sont les premières choses à acheter pour divertir, occuper et émerveiller bébé. Vous pouvez accrocher son mobile musical sur son berceau ou sa poussette. Quand il commence à attraper des choses avec ses mains, offrez-lui des doudous et des peluches adorables. Il va jouer et dormir avec eux. Ensuite, vous pouvez lui offrir des sucettes et des anneaux de dentition. C’est important pour l’aider à calmer ses gencives. La tétine est d’un grand réconfort pour bébé pendant ses premiers mois, mais il faut l’en séparer quand il commence à grandir. Sucer une tétine même en étant plus grand peut retarder ses facultés de communication. Changez-la en anneaux de dentition vers 4 ou 5 mois. Vous pouvez lui offrir des hochets, faciles à tenir par la main, à agiter dans tous les sens et à mâchouiller. À partir de 2 ou 3 mois, vous pouvez placer bébé sur le dos sur un tapis d’éveil. Il va s’amuser à observer et à attraper les jouets accrochés à l’arche. Quand il commence à s’asseoir vers 5 ou 6 mois, vous pouvez enlever l’arche et placer les jouets devant bébé : hochets, animaux, miroirs et tableaux interactifs.

Les jeux d’éveil pour aider bébé à grandir

Initiez votre enfant à la lecture dès son plus jeune âge. À partir de 6 mois, il peut déjà commencer à vous imiter, à feuilleter les livres. Il sera émerveillé par les différentes illustrations et commencera à distinguer les différentes formes et couleurs. Il va surtout aimer ouvrir et refermer, jeter et projeter le livre. Mais, cela lui permet de se familiariser avec ce support d’apprentissage. Puis, vous pouvez lui acheter un trieur de forme. Ce jouet l’aidera à distinguer les formes des objets et les couleurs par la même occasion. Ce jeu développe la réflexion et la coordination de bébé. La main et l’œil apprendront à travailler ensemble. L’autre avantage pour les parents est que ce type de jouet peut tenir votre enfant occupé pendant quelques petites heures. À partir de 1 an, bébé développe mieux sa coordination et sa motricité. Vous pouvez lui offrir des cubes de construction. Il va apprendre à saisir les objets aisément avec la main et à les emboîter entre eux, et ce même s’il ne peut pas encore vraiment créer de superbes constructions. Vous pouvez également acheter des cubes de construction. Quand il commence à marcher vers 12 mois, vous pouvez lui offrir un trotteur : il va explorer son petit monde seul, à commencer par sa chambre, puis les autres pièces de la maison. Vous pouvez l’initier au trotteur dès l’âge de 8 ou 9 mois pour qu’il s’habitue aux gestes de la marche.

Bien comprendre la source des rivalités

Les rivalités entre les enfants reflètent souvent des crises de jalousie. Si le plus grand se sent moins désiré par les parents, il va tout faire pour semer la tyrannie et rendre la vie difficile à son jeune frère ou sœur. Attention, les scènes peuvent se passer à votre insu, l’enfant peut faire des chantages au plus jeune pour ne pas se faire griller par les parents. Parfois aussi, la dispute permet à l’enfant de faire une exploration de sa personnalité et de celles des autres enfants. Il veut marquer son pouvoir de soumission et veut que l’autre soit obtempérant. Enfin, la rivalité peut aussi s’installer, quand l’enfant commence à avoir des complexes qui créent une angoisse existentielle. Cela le rende plus arrogant devant une petite sœur qui reçoit toujours des éloges et qui réussit toujours à l’école.

Comment réagir ?

Parfois les disputes permettent de lâcher de prise. Vous devez donc laisser les enfants libérer leurs émotions sans pour autant attendre qu’ils se blessent. Il ne faut pas non plus forcer la bonne entente, car ce serait une hypocrisie sur le moment. Mettez chacun d’abord en quarantaine pour les calmer, ensuite engagez le dialogue pour comprendre les besoins de chacun d’eux et ce qu’il n’aime pas chez l’autre. Ensuite, réunissez-les à nouveau et expliquez-leur pourquoi la dispute est mauvaise, mais il faut trouver toujours des compromis.

Même après plusieurs fessées, votre enfant vous aimera toujours !

Arrêtez de vous culpabiliser après avoir réprimandé votre enfant ! Il le sentira à coup sûr et en profitera pour faire davantage de bêtises. Nombreux sont les parents qui ne surmontent pas les pleurs de leurs petits et préfèrent casser le temps de la punition en leur cajolant ou en leur donnant des friandises. Bien sûr, cela ne fera qu’augmenter leur insolence. Et de plus, ils ne sauront plus différencier les câlins des réprimandes. Alors soyez ferme et tenez vos paroles !

Évitez de vous mettre en désaccord avec votre conjoint

L’autorité parentale se joue aussi en deux tons : maman est parfois plus clémente et papa a la main facile. Même s’il y a une opposition entre vos façons d’éduquer vos enfants, ne reprochez pas votre conjoint devant votre enfant. Ce dernier cherchera à chaque fois une échappatoire en balançant entre la maman et le papa, à chaque fois qu’il aura besoin de se protéger.

Faites-le raisonner !

À moins de trois ans, un enfant peut comprendre le sens du mot « non » et ainsi sentir la restriction à travers l’évocation de ce mot. Mais à partir d’un moment où l’enfant raisonne, il se lassera de vos « non » intempestifs. Il se mettra facilement dans l’opposition pour affirmer sa personnalité. Alors au lieu de l’imposer, faites-le raisonner en lui demandant si c’est bien de faire une telle chose et de lui donner une autre alternative. Il s’exécutera mieux.

Les étapes d’apprentissage

Apprendre à lire ne se fait pas en un jour. L’opération doit suivre des étapes évidentes. L’assimilation commence dès leur plus jeune âge. Tout petit, l’enfant doit se familiariser avec les lettres. À cet âge, on utilise les comptines et les chansons pour apprendre l’enfant à se familiariser et à mémoriser les lettres et les mots. Une autre méthode consiste aussi à utiliser les livres illustrés par des images. Le plus souvent, il s’attarde sur les images, mais il retient les lettres. Ensuite, arrivé au préscolaire, l’enfant apprend à faire le rapprochement entre les sons et les lettres. Il commence à construire des mots et à concrétiser une idée. Dans les classes supérieures, l’enfant va débuter la lecture. À cette période, le recours aux différents ouvrages d’apprentissage de la lecture est fortement recommandé.

Le rôle des parents

Les parents comme les enseignants doivent accompagner l’enfant dans son apprentissage. Pour les parents, ils doivent communiquer avec leur enfant. À la maison, ils doivent inciter l’enfant à aimer la lecture et l’apprentissage.
Par ailleurs, les parents doivent aussi veiller à ce que l’enfant s’habitue à comprendre ce qu’il lit. Pour cela, ils peuvent lire une histoire et question l’enfant sur l’ensemble. Toutefois, pour éviter d’avoir de mauvaises réponses, il faut donner à l’enfant le temps de réfléchir à sa réponse.
De plus, pour une meilleure assimilation de la lecture, les parents doivent lire avec leur enfant tous les jours. Il n’est pas nécessaire d’être trop formel. Lire les panneaux de signalisation routière, les publicités et les menus dans les restaurants peut être d’excellents moyens pour aider l’enfant à apprendre la lecture.

Soyez un bon exemple

Si l’enfant ne respecte pas votre volonté et fait tout le temps les choses à travers, il faut revoir la façon de l’éduquer. Tout d’abord, vous devez être toujours le bon exemple et montrer que vous appliquez vous-même les règles que vous lui imposez. Par exemple, si vous lui dites de terminer son plat, ne laissez pas de reste sur votre assiette, il le vous fera remarquer et pire, il ne vous écoutera plus la prochaine fois.

Soyez cohérent dans ce que vous faites

Ne changez pas d’avis à tout instant comme une girouette, car votre enfant ne vous comprendra plus. Si vous dites à votre enfant de terminer ses devoirs avant de pouvoir jouer, ne lâchez pas prise sous prétexte qu’il fait la moue.

Respectez vos engagements

Ne faites jamais des promesses en l’air avec votre enfant, car il ne les oublie jamais. Pour être un bon exemple, tenez vos engagements, cela apprendra à votre enfant de devenir responsable.

Responsabilisez votre enfant

Il faut apprendre à l’enfant très tôt à avoir ses responsabilités, à acquérir petit à petit de l’indépendance et à apprendre de ses erreurs. À chaque âge, on peut lui attribuer une petite tâche, comme ranger ses jouets, faire rentrer le chien, ranger le lit ou encore dresser la table. Par expérience, un enfant trop chouchouté devient toujours insolent et capricieux.

Respectez votre entourage

Ayez du respect pour vous-même et pour votre entourage. Les insultes du genre : « Que je suis bête » ou « Regarde où tu vas pauvre con » sont vraiment à proscrire. L’enfant va très vite adopter le même comportement et devenir irrespectueux.